On en dit quoi ?


 

Les histoires qui pognent en dedans, ça me touche toujours plus. Cette pépite me faisait de l'oeil au Salon du livre de Montréal et je suis heureuse de m'être écoutée. (...) Sous fond de boxe, de résilience, ce roman viendra vous toucher en plein coeur...

Félicia aka Féelilit


... on entre dans l’univers de la boxe et que Mathis s’outille pour faire face aux obstacles ainsi que pour rendre des coups à cette vie qui ne l’a pas aidé jusque là. Les émotions sont à fleur de peau parce que sa nouvelle famille affronte aussi ses propres difficultés, mais on sent que Danielle Boulianne aime profondément son Mathis et l’amène vers la lumière, offrant du même coup de l’espoir aussi à son lectorat. Oui, il est possible de s’en sortir, même si ça semble bien compliqué.  

 

Sophielit


« J’ai aimé : Les caractères de différents styles et grosseurs. Les dessins, qui donnent envie de colorier.  Le dictionnaire d’Henri.  Les pages de vocabulaire et d’expressions à la fin.

 

Un désir : Les 9 dernières pages (l’imaginaire et moi…) pourraient être publiées en livret… c’est le genre de conseils que tous les adultes devraient recevoir.  Personnellement, j’en donnerais à mes amies! »

 

Roseline Joseph


« J'ai bien aimé Bienvenue à Rocketville. Bien sûr, c'est une histoire de hockey, ce qui n'est pas pour me déplaire, mais elle véhicule aussi des valeurs qui, sans nécessairement être perdues, tendent à sombrer dans l'oubli. »   

 

Lurelu, hiver 2011, volume 23, numéro 3.


« La lecture est fluide, les rebondissements nombreux et les quelques illustrations allègent le texte. Parfait donc pour accrocher les plus jeunes à la lecture. »

 

http://www.sophielit.ca/nouvelle.php?categorie=2&id=51


« Je l’avoue, je suis maintenant une fan des Requins de Rocketville, cette belle équipe de hockey qui joue autant dans l’aréna que dehors sur la glace du village. »

 

http://info-culture.biz/2012/11/28/bienvenue-a-rocketville-toute-une-recrue/


« Ces deux petits romans ont ravivé en moi le souvenir des parties en ''gang'' dans la cour d’école avec les frères enseignants qui attachaient leur soutane dans leur ceinturon pour patiner. C’était le temps où nous jouions un peu « sur la bottine », avec un bâton de hockey à 1$, sans jambières (ou avec des catalogues Eaton bien attachés sous le pantalon), sans épaulettes, sans masque, sans gants rembourrés mais avec deux paires de mitaines. »

 

Éditions de la Noraye, 29 janvier 2014.


« Ce premier roman est parfait pour un élève qui n’aime pas la lecture, mais qui apprécie les sports d’hiver, tels que le hockey. De plus, il y a plusieurs autres romans qui suivent après celui-ci, et ils deviennent de plus en plus épais et adapté à l’enfant qui grandit d’année en année. »

 

http://passionjeunesse.wordpress.com/2013/12/01/bienvenue-a-rocketville/